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Le rêve américain et la vie à New York vous fascinent ? Vous souhaitez vous expatrier outre-Atlantique pour poursuivre vos études ou relever un nouveau défi professionnel ? Vous devrez alors savoir comment préparer correctement un dossier de candidature selon les critères américains. Dans cet article, nous vous donnons quelques pistes pour préparer votre CV, car si dans les lignes générales, le « CV américain » est semblable au français, il existe néanmoins quelques différences, que nous vous proposons de découvrir.
Pour bien préparer votre départ, informez-vous auprès de l'ambassade américaine au sujet des documents nécessaires pour pouvoir entrer sur le territoire américain comme immigrant. De plus, traduisez tous les documents susceptibles d’intéresser les recruteurs, votre CV notamment. Et évidemment, peaufinez votre anglais. Si possible, passez le « TOEFL », un test d’anglais reconnu mondialement et qui attestera de votre aisance en langue anglaise.
D’une façon générale, les Américains sont pragmatiques. Ainsi, un recruteur qui analyse un CV veut aller droit au but : connaître votre parcours scolaire, votre profil professionnel et détecter rapidement vos principales compétences. Non seulement le superflu est complètement rédhibitoire, mais toutes les données complémentaires n’ont pas d’importance pour lui. Par contre, il aime les chiffres, qui sont pour lui des données en rapport avec le succès professionnel.
La plupart des rubriques d’un CV américain sont identiques à celles du CV que nous envoyons habituellement à nos recruteurs français, mais il existe également quelques particularités. Voyons à présent plus en détail les spécificités de chacune de ces rubriques.
Comme nous l’avons évoqué plus haut, la règle de base est « less is more ». Pour cela, dans la rubrique des informations personnelles, le strict minimum est recommandé : l’indication du nom, d’une adresse et d’un numéro de téléphone sont suffisants. Exit donc la mention de la nationalité, la date de naissance ou encore l’état civil. Quant à la photographie, on l’oublie également. Aux États-Unis, les lois sont intransigeantes en matière de discrimination et le concept des opportunités égales est défendu par la plupart des employeurs américains.
Il s’agit de résumer en un court paragraphe de 4 à 5 lignes, les grandes étapes de son parcours professionnel, les fonctions assumées, les principales compétences et le poste visé et d’indiquer comment votre intégration peut contribuer positivement à la croissance de l’entreprise.
Exhibez fièrement vos résultats, mais soyez objectif en indiquant des données chiffrées. Mentionnez, par exemple, le chiffre d’affaires des multinationales pour lesquelles vous avez travaillé ou encore les budgets des missions dont vous avez intégré l’équipe. Ceci séduira certainement le recruteur, qui s’apercevra que vous avez l’habitude des grandes organisations et des postes à responsabilité.
Pour les Américains, la rubrique des formations n’est pas un critère de sélection aussi important que celui de l’expérience professionnelle et un recruteur n’est que rarement impressionné par un cursus académique. Ne vous attardez donc pas sur des détails sans intérêt. Listez les principaux diplômes en prenant soin d'apporter des précisions si nécessaire pour faciliter les équivalences, sans oublier d’indiquer le nom et la localisation de l’établissement d’enseignement.
La rubrique des compétences est également très appréciée des recruteurs, car elle peut notamment révéler :
Rédigez donc cette partie avec soin, en ciblant bien les compétences qui pourront davantage séduire le recruteur en fonction du poste offert.
Une page est la taille idéale d’un CV américain. Choisissez le format portrait et n’oubliez pas de laisser des marges au cas où le recruteur devrait faire des photocopies du document. En effet, le format des feuilles américaines est légèrement plus court que le nôtre.
Même si vous possédez un bon niveau d’anglais, certains termes techniques ayant attrait à des fonctions professionnelles ou à des désignations de diplômes peuvent être difficile à traduire. De nos jours, les traducteurs automatiques disponibles en ligne sont des outils très puissants et assez fiables, mais encore peu adaptés au langage technique, commercial ou à la traduction de sigles. La traduction automatique doit donc être envisagée comme un auxiliaire, qui devra être systématiquement vérifié et complété par des recherches. En cas de doute, le mieux sera de demander conseil à un traducteur professionnel.
Oui. Le point commun est évidemment la langue, mais s’agissant de cultures différentes, attention à adapter certaines expressions, d’employer le vocabulaire spécifique et les désignations propres à chacun de ces pays. Pour les USA, vous devrez employer l’anglais américain et non l’anglais britannique.
Malgré leur goût des chiffres, les Américains n’en sont pas moins sensibles aux causes sociales, ce qu’ils dénomment de « community envolvement ». Identifiez les compétences qui démontrent vos valeurs humaines et vos préoccupations sociales. Ainsi, si vous êtes investi dans des activités sociales ou si vous êtes volontaire dans une association locale qui défend les plus démunis, c’est l’occasion d’en faire mention sur votre CV.
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